Quantcast
Channel: Saint-Chamond
Viewing all 431 articles
Browse latest View live

les historiens de Saint-Chamond, par Michel Renard

$
0
0

image titre historiens St-Cham

 

 

les historiens de Saint-Chamond

par Michel Renard

 

 

I - travaux historiques

 

  • Ennemond Richard (1806-1873)
  • Jean-Baptiste Boudet (1814-1887)
  • Martin Presbitero (1837-1910)
  • F. Raymond ()
  • Maurice de Boissieu (1844-1933)
  • James Condamin (1844-1929)
  • Gustave Lefebvre (1865-1937)
  • Stéphane Bertholon (1862-1931)
  • Mathieu Fournier (1868-1963)
  • Michael P. Hanagan (né en 1947)
  • Lucien Parizot (1921-2011)
  • Elinor Accampo (née en 1949)
  • Père Pupier (1920-2013) et Georges Delorme
  • Éric Perrin (né en 1965)
  • Gérard Chaperon (né en 1922)

 

 

Ennemond Richard (1806-1873)

Ennemond Richard portrait

Ennemond Richard était un industriel fabricant de lacets.

  • Ennemond Richard, Recherches historiques sur la ville de Saint-Chamond, 1846.

 

Ennemond Richard couv

 

 

Jean-Baptiste Boudet (1814-1887)

noavatar

Jean-Baptiste-Michel Boudet, né le 4 octobre 1814 à Saint-Chamond et mort le 29 juin 1887 dans cette même ville, était instituteur (à Feurs, puis au collège de Saint-Chamond).

  • Jean-Baptiste Boudet, Saint-Chamond ou notes et documents sur cette ville, 1854.
  • Jean-Baptiste Boudet, Notes et documents pour servir à l'histoire de Saint-Chamond, 1857.
  • Jean-Baptiste Boudet, Livre de la fondation et establissement de Sainte Chapelle et église collégiale du glorieux Sainct Jean-Baptiste à St-Chamond, copié fidèlement sur le manuscrit original de..., 1859.

En 1884-1885, Gustave Lebvre écrivait dans le second volume du Catalogue alphabétique de la bibliothèque de la ville (de Saint-Chamond) :

Gustave Lefebvre sur Boudet 1884-85

 

 

Martin Presbitero (1837-1910)

noavatar

Martin Presbitero (parfois orthographié, à tort, Presbytero) est néà Saint-Chamond le 20 octobre 1837 et mort dans cette même ville le 5 avril 1910 (à 72 ans et non à 73 comme le mentionne l'acte de décès). Il était clerc principal de notaire de Me Finaz.

  • Martin Presbitero, Histoire de la Grand'Grange de 1846 à 1882.

 

 

F. Raymond ()

noavatar

F. Raymond,

  • F. Raymond, Les hospices de Saint-Chamond : histoire, administration, origines, agrandissements, biens et revenus, d'après les documents conservés dans leurs archives, impr. A. Poméon, Saint-Chamond, 1888.

 

 

Maurice de Boissieu (1844-1933)

Maurice de Boissieu portrait

Ennemond Marie Laurent Maurice de Boissieu, fils de Claude Roch de Boissieu, rentier, est né le 19 mai 1844 à Saint-Chamond et mort à Lyon le 23 mars 1933 (88 ans). Il était archéologue et historien, membre de la Société française d'archéologie, correspondant dela Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, membre de la Société de la Diana. Il résidait à Lyon, rue Vaubecour, et dans son château de la Doue à Saint-Galmier. En 1872, il se marie avec Hélène Thiollière de l'Isle.

  • Maurice de Boissieau, L'église collégiale de Saint-Jean-Baptiste à Saint-CHamond, son chapitre, ses reliques. Notice historique, accompagnée de pièces justificatives, Librairie ancienne d'Auguste Brun, Lyon, 1880.
  • Maurice de Boissieu, Généalogie de la maison de Saint-Chamond en Forez, Recueil de mémoires et documents sur le Forez publié par la Société la Diana, t. IX, 1888.

 

de Boissieu couv (1)

 

 

James Condamin (1844-1929)

James Condamin 1912
James Condamin en 1912

James Condamin était chanoine, professeur de littérature à la Faculté catholique de Lyon de 1877 à 1926.

  • James Condamin, Histoire de Saint-Chamond et de la seigneurie de Jarez depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, éd. A. Picard, Paris, 1890, 742 p.

- sur ce blog : "La vie de James Condamin (1844-1929), historien de Saint-Chamond", Michel Renard.

- voir également la page Wikipédia consacrée à James Condamin (c'est moi qui l'ai rédigée, M.R.).

 

Condamin couv

 

 

 

Gustave Lefebvre (1865-1937) 

noavatar

Gustave Lefebvre était conservateur de la bibliothèque de Saint-Chamond (1884-1903), secrétaire de la Société d'études économiques du département de la Loire, membre de la Société historique et archéologique du Forez (Diana).

  • Gustave Lefebvre, La bibliothèque de Saint-Chamond, impr de A. Poméon, Saint-Chamond, 1889, 34 p.
  • Gustave Lefebvre, La vie et les oeuvres de Dugas-Montbel, impr. Poméon, Saint-Chamond, 1889, 109 p.
  • Gustave Lefebvre, 1789-1889. Souvenirs de cent ans. Saint-Chamond et Rive-de-Gier, notes et documents, éd. A. Picard, 1889, 57 p.
  • Gustave Lefebvre, Registre des procès-verbaux de la Société républicaine de Saint-Chamond, avec une introduction et des notes, Lyon/Saint-Étienne, 1890.
  • Gustave Lefebvre, Germain Morel, maître de forges, éd. H. Georg, Lyon, 1890, 55 p.

 

Gustave Lefebvre couv (2) 

 

Gustave Lefebvre couv (3)    Gustave Lefebvre couv (1)

 

 

 

Stéphane Bertholon (1862-1931)

Stéphane Bertholon en 1907
Stéphane Bertholon (?) en 1907

Stéphane Bertholon était un industriel en soie, appartenant à la confrérie des passementiers (dont il fut même syndic en 1894 et 1895). Passionné de musique, il a dirigé la société musicale La Philarmonique de Saint-Chamond pendant trente-et-un ans.

  • Stéphane Bertholon, Histoires de Saint-Chamond, impr. Théolier, Saint-Étienne, 1927, 305 p.

- sur ce blog : "Stéphane Bertholon (1862-1931), historien de Saint-Chamond, éléments biographiques", Michel Renard.

 

Stéphane Bertholon couv new

 

 

 

Mathieu Fournier (1868-1963)

tombe Mathieu Fournier 20 avril 2016

Mathieu Fournier, néà Saint-Étienne, était un instituteur qui a terminé sa carrière à Saint-Chamond. Il a aussi écrit sous le pseudonyme de Jean Châtelus. Voir sa notice biographique par Gilbert Gardes (Cnrs).

  • Mathieu Fournier, Tableaux de la vie saint-chamonaise, Librairie A. Bordron, Saint-Chamond, 1949, 147 p.

 

Mathieu Fournier couv

 

 

 

Michael P. Hanagan (né en 1947) 

Michael Haganan portrait

Michael P. Hanagan est né en 1947. Il enseigne au Vassar College à New York.

  • Michael Hanagan, "Artisans and Industrial Workers in Sainy-Chamond, 1871-1914", extrait de The logic of solidarity. Artisans and Industrial Workers in three french towns, 1871-1914, University of Illinois Press, 1980.

 

Hanagan couv

 

 

Lucien Parizot (1921-2011)

noavatar

Mort le 23 septembre 2011 à Saint-Chamond.

Il est l'auteur de plusieurs articles dans Gerval, publication des Amis du Vieux Saint-Chamond : "Histoire de chanoines : Pour une grand-messe !...", n° 10-12, 1978, p. 238-241 ; "Histoires de reliques. Saintes vicissitudes !...", n° 13-16, 1979, p. 363-373 ; "La pacification religieuse après la Révolution", n° 25-28, 1982, p. 683-688 ; "Les tableaux flamands de Saint-Chamond", n° 28, 1982, p. 672-675.

  • Lucien Parizot, La Révolution à l'oeil nu. L'exemple du Lyonnais vécu à Saint-Chamond et en Jarez, éd. Val Jaris (par l'auteur), 1987.

 

Lucien Parizot couv

 

 

 

Elinor Accampo (née en 1949)

Elinor Accampo

Professeur d'histoire à l'université de Californie du Sud.

  • Elinor Accampo, Industrialization, Family Life, and Classe Relations, Saint-Chamond, 1815-1914, The University of California Press, Berkeley-Los Angeles-London, 1989, 301 p.

On attend toujours une traduction française de cet ouvrage [Industrialisation, familles et rapports de classes à Saint-Chamond, 1815-1914].

- sur ce blog : "Entre la classe sociale et la cité : identité et intégration chez les ouvriers de Saint-Chamond, 1815-1880", Elinor Accampo, Le Mouvement Social, n° 118, janvier-mars 1982, p. 39-59 [début de l'article].

 

Elinor Accampo couv

 

 

 

Père Pupier (1920-2013) et Georges Delorme ()

Père Pupier (4)  Georges Delorme portrait
Père Pupier et Georges Delorme

Gabriel Pupier fut directeur de l'école professionnelle La Grand'Grange à Saint-Chamond, de 1952 à 1986. Il est mort le 3 février 2013.

Georges Delorme a travaillé pendant vingt ans pendant à R.C.F. (Radio chrétienne de France) à Lyon.

  • Père Pupier et Georges Delorme, Sur les ruines du château… «des fleurs ont poussé». Saint Ennemond. La Grand’Grange, additif n° 94 de l'Écho de la Grand'Grange,‎ 1989, 374.

 

Deux fleurs ont poussé couv

 

 

 

Éric Perrin (né en 1965)

Éric Perrin portrait
photo Le Progrès

Éric Perrin est historien, attaché de conservation au département Patrimoine Armes du Musée d'art et d'industrie de la ville de Saint-Étienne. Il est l'auteur du travail le plus fourni sur l'histoire des Aciéries de la Marine.

  • Éric Perrin, F.A.M., C.A.F.L., Creusot-Loire. Des années 30 à nos jours. Mémoires d'un demi-siècle d'industrie métallurgique en région st-chamonaise, impr. Reboul, Saint-Étienne, 1996, 479 p.
  • Éric Perrin, Mémoires en images : Saint-Chamond, éd. Alan Sutton, 2002, 128 p.

 

Éric Perrin couv (2)

 

Éric Perrin couv (1)

 

 

 

Gérard Chaperon (né en 1922)

Gérard Chaperon portrait
photo Le Progrès

Gérard Chaperon est un médecin, arrivéà Saint-Chamond en 1955. Depuis sa retraite, il se consacre au patrimoine historique de sa commune de Cellieu. Il est l'auteur de : Cellieu, un village du Jarez au cours des âges, éd. Actes Grahiques, 1999 ; et Le bassin minier de la vallée du Gier, éd. Actes Graphiques, 2004.

  • Gérard Chaperon, Saint-Chamond, au fil du temps, éd. Actes Graphiques, 2010.

 

Gérard Chaperon couv

 

 

 

II - périodiques

 

Amis du Vieux Saint-Chamond portraits

Gerval (1976-1983) et Le Jarez d'hier et d'aujourd'hui (depuis 1983) sont les publications éditées par les Amis du Vieux Saint-Chamond. Elles contiennent des centaines d'articles.

 

Gerval couv (1)  Le Jarez couv

 

 

 

III - brochures et plaquettes

 

  • L'empire des Forges et Aciéries de la Marine, C.E.R.P.I., 1996, 64 p.
  • Le site Gillet, C.E.R.P.I., 2003, 48 pages.
  • Chavannes-Brun Frères. 130 ans de métallurgie, C.E.R.P.I., 2013, 108 p.
  • Char d'assaut Saint-Chamond, C.E.R.P.I., 2014, 56 p.
  • 1914-1918 : Saint-Chamond, un grand arsenal pour la France, C.E.R.P.I., 2014, 200 p.
  • Les Forges de Lavieu. 150 ans d'outils de jardinage, C.E.R.P.I., 2015, 104 p.

 

Cerpi (1)   Cerpi (2)    Cerpi (6)

 

Cerpi (4)    Cerpi (3)    Cerpi (5)

 

Le C.E.RP.I. est le Centre d'Études et de Recherches du Patrimoine Industriel du Pays du Gier : site.

 

 

IV - mémoires de maîtrise d'histoire

 

  • Olivier Philibert, L'Hôtel-Dieu de Saint-Chamond, de 1561 à 1790, mémoire de maîtrise, 1998-1999, Saint-Étienne.

 

 

V -  iconographie commentée

 

Henri Gidrol portrait
Henri Gidrol, en 1994

Henri Gidrol a été maire-adjoint de Saint-Chamond, de 1959 à 1977.

 

 

VI - roman historique

 

  • Mathieu Fournier, La vallée ardente ; scène de la vie populaire ; Saint-Étienne, librairie Dubouchet ; Saint-Chamond, librairie Bordron ; 1938.

 

 

 

 

 

- retour à l'accueil


le théâtre municipal de Saint-Chamond (1835-1931)

$
0
0

théâtre municipal (3)

 

 

le théâtre municipal de Saint-Chamond

(1835-1931)

 

Sous la monarchie de Juillet, en 1835 (1), un marché couvert appelé"Halle" fut construit par la municipalitéà Saint-Chamond. Il devint le Théâtre municipal qui exista pendant presqu'un siècle. En 1931, dans le cadre d'un réaménagement urbain, la municipalité dirigée par Antoine Pinay le fit abattre.

 

théâtre municipal (1)
le théâtre municipal de Saint-Chamond, place de la Halle au début du XXe siècle

 

théâtre municipal (2)
le théâtre municipal de Saint-Chamond, place de la Halle au début du XXe siècle

 

théâtre municipal (3)
le théâtre municipal de Saint-Chamond, place de la Halle au début du XXe siècle

 

théâtre municipal (4)
le théâtre municipal de Saint-Chamond, place de la Halle au début du XXe siècle

 

théâtre municipal (7)
le théâtre municipal de Saint-Chamond, place de la Halle au début du XXe siècle

 

théâtre municipal (8)
le théâtre municipal de Saint-Chamond, place de la Halle au début du XXe siècle

 

L'ancien théâtre est le plus souvent représenté par sa façade vue de la place Saint-Pierre.

C'est un édifice de style classique en forme de temple à deux niveaux. Le premier est composé d'un portique à quatre colonnes et deux pilastres constituant un péristyle. L'étage comporte cinq grandes baies vitrées. Il est surmonté d'un entablement portant l'inscription "Théâtre municipal" et d'un fronton de style dorique percé d'un oculus. Le bâtiment principal est flanqué de deux galeries latérales à arcades en plein cintre.

 

théâtre architecture légendée

 

Une image permet de voir sa longueur et sa face arrière. C'est une vue générale de Saint-Chamond dans sa partie orientale. On y reconnaît la place Saint-Pierre et le côté nord du théâtre.

 

théâtre municipal (5)
Saint-Chamond, vue générale, avec le théâtre au centre

 

théâtre municipal vu de dos légendé

 

Le livre de Stéphane Berthon, Histoires de Saint-Chamond (1927), cite longuement le témoignage de Martin Presbitero qui évoque le théâtre en septembre 1860 : "Le soir, il y eut un grand banquet dans la salle du théâtre de la Halle. On avait recouvert les bancs des premières par un plancher raccordéà la scène. La décoration était superbe. Assistaient à ce festin tous les chanteurs et musiciens du matin [fête de la Sainte-Cécile], et beaucoup d'invités. La plupart des sommités de Saint-Chamond y étaient (...)" (p. 173).

En attente de recherches plus détaillées, il ne semble pas que le théâtre de la Halle ait été le lieu de représentations d'art dramatique.

Michel Renard
professeur d'histoire

 

1 - La date de 1835 est fournie par Éric Perrin. James Condamin écrit, en 1890 : "C'est pendant le second quart du XIXe siècle qu'on a construit sur l'emplacement de l'ancienne grenette, la Halle ou marché couvert...". Dans l'ouvrage, de Stéphane Bertholon, Histoires de Saint-Chamond (1927, p. 133), on trouve la date de 1849 (?). À vérifier.

 

 

- retour à l'accueil

Aciéries de la Marine, images d'une dévastation (photos et vidéo)

$
0
0

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (27)

 

 

 

Aciéries de la Marine, images d'une dévastation

photo-reportage du samedi 30 avril 2016 entre 9 h et 9 h 30

 

 

vidéo

Générations acier Saint Chamond

 

 

photos

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (2)
abord de la halle n° 6, rue Petin-Gaudet ; en réalité, il s'agit du fond du bâtiment

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (3)
le permis de démolir date du 12 février 2013

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (4)
entrée de la halle, détruite depuis quelques jours

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (5)
la halle vue de l'entrée : la toiture a disparu en grande partie

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (6)
convulsion métallique

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (7)
côté droit de la halle

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (8)
disgrâce

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (9)
des espaces qui ont perdu toute signification

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (10)
du métal pour détruire le métal

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (11)
côté droit de la halle

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (12)
le "B 15"...

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (13)
une vigie aveugle

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (14)
l'espace central de la halle n° 6

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (15)
côté droit de la halle ; au fond, l'entrée détruite

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (16)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (17)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (18)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (19)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (20)
poulie de levage

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (21)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (22)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (23)
l'espace central de la halle avec l'entrée détruite au dernier plan

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (24)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (25)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (26)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (27)
poulie de levage d'une capacité de 16 tonnes

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (28)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (29)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (30)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (31)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (32)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (33)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (34)
briques des murs intérieurs

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (35)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (36)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (37)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (38)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (44)
côté droit

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (45)
éclat du champ de bataille de la démolition

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (46)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (47)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (48)
la face gauche de la halle, de l'entrée vers son fond rue Pétin-Gaudet

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (49)
halle n° 6, identifiée

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (50)
engin de démolition prêt à reprendre le travail

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (51)
les murs extérieurs encore debout

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (52)
la halle n° 6 le 30 avril 2016

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (53)
fond de la halle

 

 

- retour à l'accueil

deux célébrités couramiaudes

$
0
0

 deux célébrités

 

 

deux célébrités couramiaudes :

Bancel et Barthélémy

 

 

deux célébrités

 

Au verso de cette ancienne carte postale, on trouve la légende suivante : "Deux célébrités couramiaudes : Bancel, roi des pisteurs ; Barthélémy, roi des siffleurs".

 

deux célébrités gros plan

 

Qui pouvaient bien être ces deux personnages ?

J'ai parcouru, une fois de plus, les 489 feuillets du recensement de 1911 et j'ai trouvé quatre familles portant l'un de ces deux noms.

À titre de forte probabilité, je ne retiens pas celui de Victor Barthélémy, né en 1856 et retraité en 1911. Ni celui de Pierre Bancel, né en 1842, rentier possédant un immeuble rue de la République.

Par contre, Louis Bancel, né en 1865, à Lamastre (Ardèche), tailleur d'habits, marié en mars 1892 à Saint-Chamond, pourrait figurer sur la photo.

Ainsi que Edmond Barthélémy, né en 1876 à Marseille, électricien et arrivé tardivement à Saint-Chamond entre 1903 et 1909.

Mais ce sont que des hypothèses. Rien ne permet d'affirmer leur proximité amicale.

Et rien ne dit ce que signifiaient les expressions "pisteur" et "siffleur". Allusion à la chasse au chat dans Saint-Chamond ?

 

Michel Renard

 

- retour à l'accueil

quelques commerces de la ville de Saint-Chamond

ombrelles de lumière à Saint-Chamond

$
0
0

parapluies 21 mai 2016 (2)

 

 

ombrelles de lumière à Saint-Chamond

 

 

 

 

parapluies 21 mai 2016 (1)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (2)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (3)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (4)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (5)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (6)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (7)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (8)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (9)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (10)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (11)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (12)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (13)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (14)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (15)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (16)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (17)
rue Ventefol

 

parapluies 21 mai 2016 (18)
rue Ventefol

 

Michel Renard

 

- retour à l'accueil

place Ferréol

$
0
0

place Ferréol 12 août 2016 (3)

 

 

place Ferréol

 

 

plan actuel

 

place Ferréol plan
à l'intersection des rues de la République, Asile-Fournas, de la Charité et Benoît-Oriol
(sur ce plan, le tracé du cours souterrain du Gier n'est pas correct)

 

place Ferréol plan légendé
place Ferrréol, plan légendé

 

 

images anciennes

 

place Ferréol cpa
place Ferréol avant 1914 ; l'édifice central a aujourd'hui disparu

 

place Ferréol cpa (1)
place Ferréol avant 1914

 

place Ferréol cpa (2)
place Ferréol avant 1914

 

place Ferréol cpa (3)
place Ferréol avant 1914

 

place Ferréol cpa (4)
place Ferréol avant 1914

 

 

 

photos récentes

 

place Ferréol 12 août 2016 (1)
place Ferréol, vendredi 12 août 2016 à 10 h 20

 

place Ferréol 12 août 2016 (2)
place Ferréol, vendredi 12 août 2016 à 10 h 20

 

place Ferréol 12 août 2016 (4)
place Ferréol, vendredi 12 août 2016 à 10 h 20 ; et le début de la rue Asile-Fournas

 

 

 

- retour à l'accueil

le château de Saint-Chamond, reconstitution 3D par Richard Bonnel

$
0
0

 3D Richard Bonnel (1)

 

 

le château de Saint-Chamond,

reconstitution 3D par Richard Bonnel

 

 

3D Richard Bonnel (1)

 

3D Richard Bonnel (2)

 

3D Richard Bonnel (3)

 

Magnifique reconstitution en graphisme 3D de l'ancien château des seigneurs de Saint-Chamond, par Richard Bonnel. On mesure mieux le volume impressionnant de l'édifice et de son emprise au sol.

 

Richard Bonnel
net caetera informatique

 

- retour à l'accueil


Rose Nantas (1889-1912) et sa famille, à Saint-Chamond : enquête

$
0
0

Rose devanture

 

 

Rose Nantas (1889-1912) et sa famille,

à Saint-Chamond : enquête

 

 

Rose, un prénom ajouté sur une carte postale

 

Lorsque, travaillant sur l'Annuaire des commerçants et industriels de Saint-Chamond en 1908, j'ai recherché une iconographie accompagnant la liste de ces 1 020 établissements, je suis tombé sur plusieurs photos de la devanture du marchand de tissus Marcoux, au 85 rue de la République. Des cartes postales anciennes, source iconographique principale de cette époque.

 

devanture Marcoux
Saint-Chamond, rue de la République, établissements Marcoux (tissus), à droite

 

cpa Marcoux avec Rose
carte postale ancienne, avant 1910, avec Rose Nantas devant les établissements Marcoux

 

L'une des photos avait une particularité. Le prénom d'une personne avait étéécrit par l'utilisateur de la carte : Rose. Ce n'est pas rare mais assez peu fréquent. Des cartes postales sont souvent sur-écrites côté image, le dos ne suffisant pas à la longueur du message. Mais la mention de noms ou prénoms, plus insolite, peut être le début d'une recherche d'identification.

J'ai voulu savoir qui était Rose Nantas.

À la différence des passants dans la rue, autrement vêtus, j'ai émis l'hypothèse que cette jeune femme pouvait être employée dans ce magasin. L'examen du recensement de l'année 1911 nous apprend qu'elle était couturière et qu'elle habitait à l'endroit même, au n° 83 rue de la République alors que le magasin est au n° 85. Travaillait-elle chez Marcoux ou était-elle présente à titre de voisine ?

Mais un problème a surgi à l'examen précis du recensement de 1911 : il existait deux Rose Nantas, que j'ai retrouvées dans l'état civil. Rose Jeanne, née le 10 juin 1887, et Rose Louise, née le 13 décembre 1889, toutes les deux à Saint-Julien-en-Jarez.

Laquelle des deux Rose figure sur la photo ? Jeanne ou Louise ?

Commençons par la reconstitution de la famille Nantas et de tous ses membres. Puis examinons les recensements et la tombe.

 

 

la famille de Rose Nantas

les parents

 

le père, Jean Nantas (1857-1918)

Jean Nantas acte naissance 1857
acte de naissance de Jean Nantas en 1857

 

Jean Nantas acte décès 1918
acte de décès de Jean Nantas, le 2 décembre 1918

 

la mère, Jeanne Gonon (1863-1939)

Jeanne Gonon acte naissance 1863
acte de naissance de Jeanne Gonon en 1863

 

acte décès Jeanne Nantas 1939
acte de décès de Jeanne Gonon en 1939

 

 

le mariage de Jean Nantas et Jeanne Gonon (1884)

mariage Nantas Gonon 1884
acte de mariage de Jean Nantas et Jeanne Gonon en 1884

 

mariage Nantas Gonon 1884 complet
acte de mariage de Jean Nantas et Jeanne Gonon en 1884 (intégral)

Le mariage a été célébré le 30 octobre 1884 à Rive-de-Gier, commune de naissance de Jeanne Gonon.

 

 

les enfants

Jean Victor (1885-1948)

Jean Victor Nantas acte naissance 1885
acte de naissance de Jean Victor Nantas en 1885

 

le mariage de Jean Victor Nantas (1910)

mariage Jean Victor 1910
acte de mariage de Jean Victor Nantas et Jeanne Thuriot en 1910

 

Jean Victor  s'est marié une première fois avec Jeanne Thuriot en 1910, et une seconde fois avec Sophie Angèle François Gratalon (1901-1999) le 25 novembre 1924 à Izieux.

 

acte naissance Angèle Gratalon 1901
acte de naissance d'Angèle Gratalon, second épouse de Victor Nantas

 

 

 

Rose Jeanne (1887-)

Rose Jeanne acte naissance 1887
acte de naissance de Rose Jeanne Nantas en 1887

 

 

Rose Louise (1889-1912)

acte naissance Rose Nantas 1889
acte de naissance de Rose Louise Nantas en 1889


acte décès Rose Nantas 1912
acte de décès de Rose Louise Nantas en 1912

 

Rose Louise Nantas meurt donc âgée de 22 ans, à l'aube de ses 23 ans.

 

 

Marie Léonie (1897-1967)

Marie Léonie acte naissance 1897
acte de naissance de Marie Léonie Nantas en 1897

 

 

Claudius Melchior (1901-1973)

Claudius Melchior acte naissance
acte de naissance de Claudius Melchior Nantas en 1901 (décédéà Lyon en 1973)

 

 

 

ce que nous apprennent les recensements

 

1886

recensement Nantas 1886 Saint-Julien-en-Jarez (1)

recensement Nantas 1886 Saint-Julien-en-Jarez (2)
recensement 1886, à Saint-Julien-en-Jarez

 

En 1886, les époux Nantas, mariés le 30 octobre 1884, habitent à Saint-Julien-en-Jarez au n° 14 ou 16 rue de l'Église, avec leur fils Jean Victor, né le 10 août 1885. L'épouse est enregistrée sous son nom de jeune fille comme de coutume.

 

 

1891

recensement Nantas 1891 Saint-Chamond 72 rue Rép
recensement de 1891, à Saint-Chamond

 

Les Nantas étaient encore à Saint-Julien-en-Jarez en décembre 1889 où leur fille Rose Louise est née et déclarée à l'état civil. Ils ont donc déménagé en 1890 ou début 1891 pour s'installer à Saint-Chamond au n° 72 de la rue de la République. Le recensement de 1891 prénomme le père (Jean) Joanny, peut-être son prénom d'usage (?). La place du prénom des deux Rose est distincte : Jeanne le porte en second, Louise en premier.

 

 

1906

recensement 1906 Nantas légendé
recensement de 1906, à Saint-Chamond

 

En 1906, la famille Nantas habite Saint-Chamond, au n° 83 de la rue de la République. Elle comprend le père, la mère et les cinq enfants. L'aîne des Rose porte ce prénom, la seconde celui de Louise.

 

 

1911

recensement 1911 Nantas
recensement de 1911, à Saint-Chamond

 

Le recensement de 1911 fait apparaître : le père (Jean, chef d'escrime, patron), la mère (Jeanne), les deux soeurs Rose (couturières), la petite soeur (Marie Léonie) et le petit dernier (Claudius Melchior). L'aîné, Victor, a quitté le domicile familial depuis son mariage le 27 octobre 1910 pour habiter avec ses beaux-parents au n° 30 de la rue du Pilat à Saint-Chamond.

 

recensement Thuriot et Nantas 1911
recensement 1911, 30 rue du Pilat, famille Thuriot et Jean (Victor) Nantas

 

 

1921

recensement 1921 Nantas
recensement de 1921

 

En 1921, apparaissent l'absence du père, décédé le 2 décembre 1918 et celle de Rose Louise, décédée le 6 novembre 1912. L'épouse devient donc "chef de ménage" et vit avec ses trois enfants : (Rose) Jeanne, Marie (Léonie) et (Claudius) Melchior. Il faut noter que (Rose) Jeanne reste célibataire alors qu'elle est désormais âgée de 34 ans.

 

 

1926

recensement 1926 Nantas
recensement de 1926

 

La situation, en 1926 est la même que cinq ans plus tôt. Jeanne, la mère, reçoit la distinction de "veuve" (Vve). Sa fille (Rose) Jeanne, 39 ans, n'est toujours pas mariée. Marie, âgée de 29 ans, n'est pas mariée non plus. Et (Claudius) Melchior se voit affublé du prénom de Marcel (probablement à la suite d'une négligence de l'enquêteur).

 

 

1931

recensement Nantas 1931
recensement de 1931

 

En 1931, la famille habite toujours au n° 83 rue de la République mais elle est réduite à la mère et ses deux filles.

 

 

1936

recensement Nantas 1936
recensement de 1936

 

En 1936, la situation est identique à celle de 1931. Nous savons que Jeanne Nantas, la mère, meurt à son domicile, le 9 mars 1939, âgée de 76 ans.

 

 

 

 

la tombe

 

tombe Nantas (1)
la tombe Nantas au cimetière de Saint-Chamond (photo : 26 octobre 2016)

 

tombe Nantas (2)
stèle de la tombe Nantas à Saint-Chamond (photo : 26 octobre 2016)

 

Les inscriptions portées sur la stèle comportent une erreur.

Il n'a pas existé de Maria Nantas, née en 1887. Soit la date de naissance est juste et alors il s'agirait de Rose Jeanne Nantas (l'aînée des Rose). Mais pourquoi une telle erreur de prénom ? Soit, la date est erronée et il s'agirait de Marie Léonie, prénomée Maria par usage, née en 1897.

Une autre remarque : Victor Nantas et Maria Nantas, décédés respectivement en 1948 et 1967, ne sont pas morts à Saint-Chamond (vérification effectuée auprès du service d'état civil de la mairie).

Angèle Gratalon (1901-1999) a épousé Victor Nantas le 25 novembre 1924 à Izieux.

L'abbéHenri Nantas (1912-1971) a été actif au sein de l'Avant-Garde de Saint-Étienne, association sportive catholique, dans les années 1940 ; il a été adjoint de l'abbé Coignet.

Le chanoine Marc Nantas (1930-2008) a été directeur spirituel à l'institution Saint-Gildas (Charlieu, Loire) de 1957 à 1962 (?). Il a aussi été curé de l'église de la Rédemption à Lyon, de 1994 à 1999. Ses obsèques ont eu lieu le mardi 25 mars 2008 à 10 heures, à la primatiale Saint Jean à Lyon.

 

Charlieu institution Saint-Gildas cpsm
institution Saint-Gildas, à Charlieu (Loire)

 

Pour l'instant, nous ignorons les liens de filiation d'Henri Nantas et de Marc Nantas avec la famille de Rose Nantas.

 

 

qui a écrit la carte ?

 

recto carte Rose octobre 1912
recto de la carte postale Rose

 

verso carte Rose octobre 1912
verso de la carte postale Rose, signée Maria

 

La signature de Maria portée sur le verso de la carte laisse penser qu'il s'agit de Marie Léonie Nantas, née en 1897 et petite soeur de Rose.

Le cachet de la Poste n'est pas complet mais la carte a été postée à 16 h 40 un 9 décembre à Saint-Chamond et enregistrée le 10 à Romans (cachet sur le verso). L'année - réduite à la dizaine et à l'unité - commence par un 0, c'est donc avant 1910. Marie (Maria) avait ainsi une dizaine d'années, un peu moins ou un peu plus, ce que confirme le graphisme hésitant.

 

cachet Poste sur carte Rose
cachet de la Poste (envoi) de la carte Rose : 9 décembre 0..

 

Et c'est elle qui mentionne Rose sur le recto, prouvant à son interlocutrice qu'il n'y a pas de doute sur le nom de famille puisqu'il s'agit de sa soeur.

 

 

et qui est la destinataire ?

 

Qui est Ida Mourat, la destinataire de la carte ? On a pu la retrouver grâce à l'adresse précise notée sur la carte : 4, place du Champ de Mars à Romans, dans la Drôme.

 

Ida Mourrat à Romans 1906
recensement de Romans en 1906 : au 4, place du Champ de Mars, la famille Mourrat (avec deux "r")

 

recensement 1901 Mourat
recensement de Romans en 1901 : au 5, place du Champ de Mars, la famille Mourat

 

Elle est la fille d'un professeur de musique, Émile Mourrat. Sa mère se prénomme Léonie. Ida est indiquée  "tailleuse" en 1901 et "sans profession" en 1906.

L'état civil nous informe qu'Ida Mourat est née le 2 août 1881 à Romans, mariée le 9 décembre 1915 avec André Therre à Romans également, et morte le 16 janvier 1979 à Bourg-de-Péage (Drôme).

 

acte naissance Ida Mourat 1881
acte de naissance de Ida Mourrat le 2 août 1881 à Romans

 

Pour l'instant malheureusement, tout cela ne nous renseigne pas sur les liens entre la famille Nantas et la famille Mourat.

 

 

alors, laquelle des deux Rose figure sur la carte postale ?

 

Lors des divers recensements, les prénoms des deux Rose (Jeanne et Louise) sont enregistrés sans continuité logique : les dénominations varient, tantôt l'une est appelée Rose, tantôt l'autre... Il n'est donc pas permis d'avoir une certitude sur celle des deux qui aurait porté par usage le prénom Rose distinctement de sa soeur.

Le fait, cependant, que la stèle tombale mentionne Rose pour celle morte en 1889 (donc la deuxième, Louise), me porte à croire qu'il s'agit bien de la jeune fille figurant sur la carte postale.

 

Michel Renard
professeur d'histoire

Michel retour lycée 3 oct 2012 (2) copie 2

 

- retour à l'accueil

cérémonie du 11 novembre 2016

$
0
0

11 nov 2016 St-Cham (3)

 

 

cérémonie du 11 novembre 2016

à Saint-Chamond

 

 

11 nov 2016 St-Cham (1)
de d. à g. : Paul Villedieu, président du comité du Souvenir Français à Saint-Chamond ; François Rochebloine, député ;
Hervé Reynaud, maire ; Régis Cadegros, maire-adjoint ; Pascale Offrey, maire-adjointe.

 

11 nov 2016 St-Cham (2)
Émile Honoré préside la cérémonie

 

11 nov 2016 St-Cham (3)
couleurs hissées

 

11 nov 2016 St-Cham (4)
11 novembre 2016 à Saint-Chamond

 

11 nov 2016 St-Cham (5)
11 novembre 2016 à Saint-Chamond

 

11 nov 2016 St-Cham (6)
11 novembre 2016 à Saint-Chamond, dépôt de gerbe : Andonella Fléchet et Hervé Reynaud

 

11 nov 2016 St-Cham (7)
11 novembre 2016 à Saint-Chamond : Andonella Fléchet et Hervé Reynaud

 

11 nov 2016 St-Cham (8)
11 novembre 2016 à Saint-Chamond : Gabriel Duplomb ranime la flamme

 

11 nov 2016 St-Cham (9)
11 novembre 2016 à Saint-Chamond

 

11 nov 2016 St-Cham (10)
Paul Villedieu, président du comité du Souvenir Français à Saint-Chamond

 

11 nov 2016 St-Cham (11)
11 novembre 2016 à Saint-Chamond

 

11 nov 2016 St-Cham (12)
Hervé Reynaud, maire de Saint-Chamond, 11 novembre 2016

 

11 nov 2016 St-Cham (13)
Hervé Reynaud, maire de Saint-Chamond, 11 novembre 2016

 

11 nov 2016 St-Cham (14)
Hervé Reynaud, maire de Saint-Chamond, 11 novembre 2016

 

11 nov 2016 St-Cham (15)
11 novembre 2016 à Saint-Chamond, le salut

 

11 nov 2016 St-Cham (16)
11 novembre 2016 à Saint-Chamond, la stèle du Souvenir Français

 

11 nov 2016 St-Cham (17)
11 novembre 2016 à Saint-Chamond, la flamme du souvenir

 

 

 

- retour à l'accueil

archéologie préventive, place Saint-Pierre à Saint-Chamond

$
0
0

15 nov 2016 (23)

 

 

archéologie préventive,

place Saint-Pierre à Saint-Chamond

journal photographique

 

 

affiche travaux Mairie

 

 

lundi 14 novembre 2016

 

En préalable à la requalification de la place Saint-Pierre, et suite à une prescription de la DRAC (Direction régionale des Affaires culturelles), la ville de Saint-Chamond a conclu une convention avec l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) le 27 juin 2016.
Quatre périmètres (mini-sites) ont été choisis pour le diagnostic archéologique. En fonction des résultats, la Direction régionale de l'archéologie préventive décidera s'il y a lieu ou non de poursuivre les fouilles.

 

périmètres croquis de situation
les quatre périmètres du diagnostic archéologique © Michel Renard

 

14 nov 2016 (1)
périmètre de la patte d'oie

 

14 nov 2016 (2)
périmètre devant l'église

 

14 nov 2016 (3)
périmètre devant l'église

 

14 nov 2016 (4)
un périmètre sur le parking

 

14 nov 2016 (5)
un autre périmètre sur le parking

 

 

mardi 15 novembre 2016

 

15 nov 2016 (1)
la patte d'oie

 

 

devant l'église

 

15 nov 2016 (23)
au premier plan, une voie de circulation a été mise à jour

 

15 nov 2016 (24)
au premier plan, une voie de circulation a été mise à jour

 

15 nov 2016 (25)
au premier plan, une voie de circulation a été mise à jour

 

15 nov 2016 (2)
l'espace le plus profond de la tranchée : 1 m

 

15 nov 2016 (3)
à hauteur du ruban, une "couche noire" (détritus organiques) a été identifiée

 

15 nov 2016 (4)
à hauteur du ruban, une "couche noire" (détritus organiques) a été identifiée

 

15 nov 2016 (5)
une voie menant à l'église ou à l'ancienne chapelle Sainte-Barbe ?

 

15 nov 2016 (6)
nettoyage à la brosse de la voie de circulation

 

15 nov 2016 (7)
nettoyage à la brosse de la voie de circulation

 

15 nov 2016 (8)
la mire, règle graduée (1 m) servant à mesurer la hauteur

 

15 nov 2016 (9)
la mire sert de repère au photographe

 

15 nov 2016 (10)
la mire sert de repère au photographe

 

15 nov 2016 (11)
relevé photographique

 

15 nov 2016 (12)
relevé photographique

 

15 nov 2016 (13)

 

Sur ce premier emplacement, il a été dégagé une voie de circulation, grossièrement pavée ; une couche "noire" (déchets organiques ?) à 25 cm de profondeur ; et vers le fond des galets alluvionnaires... qui peuvent remonter très loin dans le temps (paléolithique...). Entre les deux, rien de significatif pour l'instant.

 

 

sur la "patte d'oie"

 

15 nov 2016 (15)
mise en place de la pelleteuse

 

15 nov 2016 (16)
mise en place de la pelleteuse

 

15 nov 2016 (17)
mise en place de la pelleteuse

 

15 nov 2016 (18)
dégagement de la couche de bitume

 

15 nov 2016 (19)
dégagement de la couche de bitume

 

15 nov 2016 (20)
dégagement de la couche de bitume

 

15 nov 2016 (21)
dégagement de la couche de bitume

 

15 nov 2016 (22)
dégagement de la couche de bitume

 

15 nov 2016 (14)
première excavation

 

 

 

mercredi 16 novembre 2016

 

16 nov 2016 (8)
devant l'église, la banderole de l'INRAP

 

16 nov 2016 (1)
la tranchée, sur la patte d'oie, a surtout dégagé des remblais

 

16 nov 2016 (2)
la tranchée, sur la patte d'oie, a surtout dégagé des remblais

 

16 nov 2016 (3)
la tranchée, sur la patte d'oie, a une profondeur de 1 m 50

 

16 nov 2016 (4)
compte tenu de sa largeur, la tranchée ne peut être plus profonde sans risque d'éboulement

 

16 nov 2016 (5)
à 40 cm sous le bitume, la marque des travaux du début des années 1990 : le bidim

 

Diapositive1
le "bidim" : textile synthétique qui laisse passer l'eau et empêche les parties les plus fines issues
du terrain naturel de migrer et venir modifier la structure des matériaux d'apport

 

16 nov 2016 (6)
les deux terrasses de l'excavation

 

16 nov 2016 (7)
Théo, l'archéologue, à l'oeuvre dans le fond de la tranchée

 

16 nov 2016 (9)
l'évaluation de terrain des archéologues

 

16 nov 2016 (10)
l'évaluation de terrain des archéologues

 

16 nov 2016 (11)
à la recheche de quelques restes de céramique...

 

16 nov 2016 (12)
après le travail mécanisé de la pelleteuse, examen du fond et des parois de la tranchée

 

16 nov 2016 (13)
après le travail mécanisé de la pelleteuse, examen du fond et des parois de la tranchée

 

16 nov 2016 (14)
après le travail mécanisé de la pelleteuse, examen du fond et des parois de la tranchée

 

16 nov 2016 (15)
après le travail mécanisé de la pelleteuse, examen du fond et des parois de la tranchée

 

16 nov 2016 (16)
fin de journée sur le chantier

 

Les investigations dans la tranchée de la patte d'oie, ce mercredi 16 novembre, ont permis d'identifier un important volume de remblais qui ne peut être encore daté.

Sous les couches superficielles où l'on retrouve les traces des aménagements récents (années 1990), apparaît une "structure", c'est-à-dire un énorme trou (peut-être des arbres déracinés ?) ayant été comblé par un remblai qui contient quelques vestiges de céramique. Ces derniers seraient assez anciens et restent à dater.

 

place Nationale marché
la place Saint-Pierre (ou place Nationale) avant 1914

 

place Nationale légendée
platane sur la place Saint-Pierre (ou place Nationale) ; la date de 1955 me semble plus correspondre
à l'année où la carte a été légendée qu'à celle de l'image elle-même

 

À cet endroit de la place Saint-Pierre (ou : place Nationale, de 1889 à 1964), sont visibles de grands platanes sur les cartes postales anciennes. C'est peut-être l'un d'eux qui a été abattu puis essouché, laissant un trou qu'on a ensuite comblé avec des remblais provenant sûrement des alentours proches.

 

 

jeudi 17 novembre 2016

 

La tranchée de la patte d'oie a été rebouchée. Cela ne préjuge pas de la décision de poursuivre ou non des fouilles, qui relève de la Direction régionale de l'Inrap. Mais le faible matériel trouvé laisse penser qu'on n'ira pas plus loin...

 

17 nov 2016 (1)
la tranchée de la patte d'oie a été rebouchée

 

17 nov 2016 (2)
la tranchée de la patte d'oie a été rebouchée

 

17 nov 2016 (3)
la tranchée de la patte d'oie a été rebouchée

 

17 nov 2016 (4)
la tranchée de la patte d'oie a été rebouchée

 

17 nov 2016 (6)
la tranchée de la patte d'oie a été rebouchée

 

17 nov 2016 (7)
la tranchée de la patte d'oie a été rebouchée

 

17 nov 2016 (8)
la tranchée de la patte d'oie a été rebouchée

 

17 nov 2016 (9)
la tranchée de la patte d'oie a été rebouchée

 

17 nov 2016 (5)
la tranchée du parvis de l'église était encore ouverte les jeudi 17 et vendredi 18 novembre

 

 

lundi 21 novembre 2016

 

 

 

à suivre

 

 

- retour à l'accueil

esplanade de l'Hôtel-Dieu : travaux de requalification

$
0
0

affiche requalification esplanade Hôtel-Dieu

 

 

 

esplanade de l'Hôtel-Dieu :

travaux de requalification

 

Il y a quelques jours, ont commencé les travaux de destruction de l'ancienne Caisse primaire d'assurance maladie. Ils sont destinés à mettre en valeur le bâtiment de l'Hôtel-Dieu et à réaménager l'espace qui lui fait face.

 

cpam destruction 20 nov (1)
destruction en cours de l'ancienne Cpam, 20 novembre 2016

 

cpam destruction 20 nov (2)
destruction en cours de l'ancienne Cpam, 20 novembre 2016

 

cpam destruction 20 nov (3)
destruction en cours de l'ancienne Cpam, 20 novembre 2016

 

cpam destruction 20 nov (4)
destruction en cours de l'ancienne Cpam, 20 novembre 2016

 

cpam destruction 20 nov (5)
destruction en cours de l'ancienne Cpam, 20 novembre 2016

 

 

- retour à l'accueil

l'église Saint-Pierre à Saint-Chamond

$
0
0

place Saint-Pierre avec religieuse

 

 

l'église Saint-Pierre à Saint-Chamond

repères historiques

 

L'actuelle église Saint-Pierre est le résultat de deux moments historiques d'édification :

  • la construction première, décidée en 1609 par Melchior Mitte de Chevrières et achevée en 1610 ;
  • la reconstruction du choeur et de l'autel en 1753-1754.

 

la première église Saint-Pierre

Une église Saint-Pierre était située, au moins depuis le XIV siècle, à l'angle nord-est du château, sur la colline de Saint-Ennemond, coeur historique de la commune.

En 1563, le seigneur Christophe de Saint-Chamond, grand-père de Melchior Mitte de Chevrières, dut la faire abattre pour favoriser la mise en défense du château qui avait déjà subi plusieurs sièges lors des guerres de religion. 

 

Diapositive1

 

Saint-Pierre dépendait de la paroisse de Saint-Julien-en-Jarez et Notre-Dame relevait de la paroisse d'Izieux. La seule église paroissiale de Saint-Chamond était Saint-Ennemond.

 

la deuxième église Saint-Pierre

Le seigneur Christophe avait promis de faire reconstruire Saint-Pierre et avait laissé par testament une somme à cet effet. Les projets envisagés n'aboutirent pas car la ville commençait à s'étendre sur la rive droite du Gier, rendant difficile l'accès à la colline Saint-Ennemond, rive gauche de la rivière.

C'est le puissant seigneur Melchior Mitte de Chevrières (1586-1649), fils du baron Jacques de Chevrières et de Gabrielle de Saint-Chamond, qui exauça le voeu de son grand-père maternel, peu après la mort de son propre père en 1606.

 

Melchio Mitte de Chevrières portrait
Melchior Mitte de Chevrières, marquis de Saint-Chamond

 

La nouvelle église Saint-Pierre ne fut pas bâtie n'importe où. Il existait, plus anciennement, une chapelle consacrée àSainte-Barbe fondée vers 1480, sur la rive droite du Gier.

L'historien Maurice de Boissieu écrit, en 1880 : "Cette chapelle Sainte-Barbe avait été fondée sur le territoire du prieuré de Saint-Julien, vers 1480, par Matthieu Palerne, marchand de Saint-Julien, avec l'autorisation de Jean d'Amanzé, chamarier [gestionnaire] du couvent de l'Ile-Barbe, commanditaire du prieuré de Saint-Julien et de Guillaume de Loncin, sacristain de ce prieuré" Maurice de Boissieu, (L'Église collégiale de Saint-Jean-Baptiste à Saint Chamond : son chapitre, ses reliques, 1880, p. 5).

Mais sa taille de cette chapelle ne suffisait plus à accueillir la paroissiens.

On utilisa le choeur de Sainte-Barbe et on éleva une grande nef avec deux rangées de chapelles latérales. La construction fut terminée en 1610 et le culte put s'y dérouler.

James Condamin écrit : "le nouvel édifice était totalement dépourvu de caractère architectural. Bâti dans le style banal que notre XVIIe siècle emprunta en partie à l'Italie, il ne se recommande guère à l'attention que par deux ou trois détails : le plafond, dont la charpente, assez gracieuse, plane majestueusement sur la nef dans le secours d'aucun pilier qui vienne le soutenir ; les  boiseries du choeur, que je crois postérieures à la date de construction de l'église, mais qui, tout inférieures qu'elles soient à celles de l'ancienne église de Notre-Dame, n'en restent pas moins un élégant et curieux spécimen de sculpture sur bois ; enfin les portes de la façade, deux oeuvres exquises, qui sont du pur Louis XIII, et qu'il faut d'autant plus signaler à l'attention qu'on semble moins en soupçonner le prix."

En note, James Condamin précise : "Ces deux portes datent seulement de 1655, époque de la reconstruction de la façade. Malgré leurs deux-cent trente-cinq ans, elles sont encore bien conservées. Mais, en vérité, pourquoi les a-t-on si indignement peinturlurées, il y a quelques mois..." (James Condamin, Histoire de Saint-Chamond..., p. 307-308).

Longtemps, l'église fut nommée Saint-Pierre et Sainte-Barbe car le décret d'union des deux cures, entériné par la transaction du 23 juillet 1609, donna lieu à des désaccords et des inexécutions jusqu'en 1699. Elle conserva même cette appellation jusqu'à la fin du XVIIIe siècle comm eon peut le vérifier sur les registres paroissiaux des années 1780.

 

baptème 6 août 1626
un baptème "en l'église Saint-Pierre et Sainte-Barbe", le 6 août 1626

 

En fait, la nouvelle église fut élevée à partir d'éléments composites : le choeur de la chapelle Sainte-Barbe, des matériaux nouveaux (nef et chapelles), des restes de l'ancienne église Saint-Pierre du château (portail et façade).

 

Diapositive1
étapes de la construction de l'église Saint-Pierre à Saint-Chamond © Michel Renard

 

James Condamin résume cela : "Une partie de la chapelle Sainte-Barbe fut conservée, pour la construction, et servit de choeur à la nouvelle église. On utilisa également quelques matériaux de l'ancienne église paroissiale, qu'on avait conservés, notamment les pierres du portail et les colonnes de la façade : toutefois, comme les colonnes avaient été rongées par le temps, on les retourna, en adossant au mur le côté usé. ingénieuse peut-être et économique, la combinaison n'était cependant pas heureuse de tout point. Nous verrons qu'il faudra, avant un demi-siècle (1655) reprendre cette façade par la base et la refaire de toutes pièces. Quant au clocher, il fut construit, selon toute apparence, vers 1645." (Histoire de Saint-Chamond..., p. 306).

 

sources

  • L'Église collégiale de Saint-Jean-Baptiste à Saint Chamond : son chapitre, ses reliques, Maurice de Boissieu, 1880.
  • Histoire de Saint-Chamond et de la seigneurie du Jarez, James Condamin, 1890.
  • Histoires de Saint-Chamond, Stéphane Bertholon, 1927.

 

 

Michel Renard
professeur d'histoire

 

- retour à l'accueil

la chapelle des Pénitents à Saint-Chamond

$
0
0

chapelle des Pénitents, façade 

 

 

la chapelle des Pénitents à Saint-Chamond

1640-1965

 

 Cet édifice fut élevé en 1640 et démoli en 1965. Il était situé sur la place Marquise, devenue place Notre-Dame, actuelle place de la Liberté.

Selon le bibliothécaire et historien, Gustave Lefebvre (1865-1937) :

"Il y avait, à Saint-Chamond, deux confréries de pénitents : celle du Confalon et celle du Saint-Sacrement.

La première était ainsi nommée parce qu'elle avait été instituée par Clément VI [pape de 1342 à 1352] pour le rachat des captifs chez les Sarrasins. Elle possédait, dans la rue du Garat, une chapelle qui fut, dès 1790, le lieu de réunion des habitants des paroisses de Saint-Perre et de Saint-Ennemond.

La seconde occupait et occupe encore une petite église en façade sur la place Notre-Dame ; c'est là que la société populaire républicaine, ou, en d'autres termes, le club de Saint-Chamond, tenait ses séances pendant la période si agitée de 1793 et 1794."

Souvenirs de cent ans, Saint-Chamond et Rive-de-Gier, 1889,
rééd. par les Amis du Vieux Saint-Chamond, mars 1989, p. 14

 

 

chapelle des Pénitents cpa postée 1905
chapelle des Pénitents, à Saint-Chamond, avant 1905

 

chapelle des Pénitents façade et passante
chapelle des Pénitents, à Saint-Chamond,

 

chapelle des Pénitents vue de la place (1)
chapelle des Pénitents, à Saint-Chamond, vue de la place Notre-Dame

 

chapelle des Pénitents vue de la place (2)
chapelle des Pénitents, à Saint-Chamond, vue de la place, avant 1913

 

chapelle des Pénitents vue de la place (3)
chapelle des Pénitents, à Saint-Chamond, vue de la place, avant 1913

 

chapelle des Pénitents, façade
chapelle des Pénitents, à Saint-Chamond, façade en 1956
source : Bulletin de la Diana (Montbrison), 1956, tome XXXIV, n° 2

 

Michel Renard
professeur d'histoire

 

- retour à l'accueil

Patrimoine, vestiges et mémoire

$
0
0

la rénovation de la place Saint-Pierre

$
0
0

place Saint-Pierre dimanche 11 déc 2016

 

 

la rénovation de la place Saint-Pierre

 

projet place Saint-Pierre
projet de rénovation de la place Saint-Pierre (dessin 2016)

 

place Saint-Pierre dimanche 11 déc 2016
la place Saint-Pierre, le dimanche 11 décembre 2016

 

L'actuelle place Saint-Pierre ne ressemble à rien : excès de voies circulantes, terrasses séparées des enseignes commerciales, carence d'espaces verts, laideur du parking central...

Le projet envisage une reconfiguration accordant à la place une homogénéité, un allègement des tracés routiers, une fonctionnalité commerciale, un cachet de place méridionale en quelque sorte.

Un peu dans l'esprit de la place d'avant 1914 et des années 1920.

J'ai un petit souci à propos de l'espace vide au centre de la place... À l'époque, elle accueillait, occasionnellement, le marché aux bestiaux, d'où son étendue.

J'y verrais bien une fontaine, ou une statue à la mémoire de Melchior Mitte de Chevrières, le grand ordonnateur des travaux du XVIIe siècle (à commencer par l'église Saint-Pierre), ou une allusion au nom que porta la place entre 1889 et 1964 : place Nationale...
Mais pas des horreurs comme sur le rond-point des rencontres !!

 

 

- retour à l'accueil

Henri Gidrol, 1918-2016 : Saint-Chamond dans l'âme

$
0
0

Henri Gidrol portrait

 

 

Henri Gidrol (1918-2016) :

Saint-Chamond dans l'âme

 

 

Henri Gidrol année 1960
Henri Gidrol parmi ses élèves, année 1960

 

Henri Gidrol en 1961
Henri Gidrol, professeur de mathématiques, en 1961

 

Henri Gidrol dans sa classe, en 1961 : cours de mathématiques au centre d'apprentissage, 2e année, du collège Claude Lebois.

 

 

Henri Gidrol avec Pinay
Henri Gidrol avec Antoine Pinay dans le bureau du maire

 

Professeur de mathématiques et de sciences au collège Claude Lebois.

Maire-adjoint de 1959 à 1977. Conseiller régional.

Président du Comité des fêtes de Saint-Chamond.

Passionné par l'urbanisme, il est l'artisan de l'ensemble d'habitations de Fonsala.

Mort le 11 juillet 2016.

 

Henri Gidrol avec Pinay (2)
Henri Gidrol (à gauche) et Antoine Pinay, dans la propriété de ce dernier

 

Henri Gidrol en 1994
Henri Gidrol (au centre), en 1994, à la mort d'Antoine Pinay

 

 

 13 décembre 1994, France 3, la mort d'Antoine Pinay

Henri Gidrol interviewé, à la mort d'Antoine Pinay

 

 

"Saint-Chamond troisième ville du département entre Loire et Rhône", par Henri Gidrol, Conseiller Régional, Adjoint au Maire de Saint-Chamond, Le Courrier du Parlement, 18 janvier au 7 février 1977

 

* le fonds Henri Gidrol, aux archives municipales.

 

Michel Renard
professeur d'histoire

 

- retour à l'accueil

Antoine Pinay (1891-1994)

$
0
0

Pinay, Chalandon, 17 oct 1960
Antoine Pinay et le ministre Chalandon (au centre), le 17 octobre 1960 (arch. mun., fonds Gidrol)

 

 

Antoine Pinay (1891-1994)

liste des articles

 

 

 

 

Pinay_fauteuil_et_cigare

 

Pinay_pdt_Conseil
président du Conseil

 

14_juin_1952
14 juin 1952

 

conf_Gen_ve_1955
de g. à d., Mac Millan (G-B), Pinay, ministre des Affaires étrangères (France)
et Foster Dulles (USA)
à la conférence de Genève en juillet  1955

 

remise_banniere
Antoine Pinay et l'Union Musicale de Saint-Chamond en 1971

 

 

 

- retour à l'accueil

givre sur la place Saint-Pierre

le bâtiment de la Sécu (CPAM) a disparu

$
0
0

 

destruction CPAM 29 déc 2016 (2)

 

 

le bâtiment de la Sécu (CPAM) a disparu

reportage photo, jeudi 29 décembre 2016

 

 

destruction CPAM 29 déc 2016 (1)

 

destruction CPAM 29 déc 2016 (2)

 

destruction CPAM 29 déc 2016 (3)

 

destruction CPAM 29 déc 2016 (4)

 

destruction CPAM 29 déc 2016 (5)

 

destruction CPAM 29 déc 2016 (6)

 

destruction CPAM 29 déc 2016 (7)

 

destruction CPAM 29 déc 2016 (8)

 

destruction CPAM 29 déc 2016 (9)

 

destruction CPAM 29 déc 2016 (10)

 

destruction CPAM 29 déc 2016 (11)

 

- retour à l'accueil

Viewing all 431 articles
Browse latest View live